Florens Orbis

Florens orbis

 

 

 

 

« Balsan est très heureux de vous présenter Florens Orbis, la toute première exposition solo parisienne du designer Baptiste Vandaele. Florens Orbis invite une forêt graphique à envahir le showroom et vous convie à déambuler sur un sol organique, entre mousses et lichens, troncs et racines. Florens Orbis pour « monde florissant », ou « monde prospère ». Florens Orbis comme manifeste d’un monde où la croissance est végétale et où la richesse est vivante. La nature est une source d’inspiration inépuisable pour Baptiste Vandaele – vivier illimité de formes, de couleurs et de textures –, et c’est avec vivacité qu’elle envahis une bonne partie de sa production.

 

Le sol de l’exposition, que Baptiste Vandaele à souhaité luxuriant de détails, est une moquette velour tuftée en 4 couleurs par Balsan grâce à sa toute dernière technologie ColorTech+. Les rideaux et autres textiles qui habillent l’espace ont été conçus spécialement pour l’occasion et sont le fruit d’une collaboration avec Etoffes & Déclinaison. »

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
 

Florens Orbis était une exposition personnelle sur une invitation de Balsan à l’occasion de la Paris Design Week, du 9 au 18 septembre 2021 au Showroom Balsan dans le Marais à Paris. La moquette à été produite par Balsan d’après un modèle dessiné spécialement pour l’occasion, les rideaux et autres textiles coordonnés ont été fabriqués par Étoffes & Déclinaison. Les carreaux de ciments sont toujours édités par Carocim, et la vaisselle artisanale bleue par Burning For. Le lettrage du titre à été dessiné spécialement pour l’occasion. Les photos ci-dessus sont de Tanguy de Montesson.

   

 

 

 

 

 

Journal de bord

Journal de bord

Affiche illustrée pour la série documentaire de Bastien Simon tournée aux Grands Voisins à Paris (14e). Février 2021.

« En octobre 2015, Bastien Simon installe ses bureaux aux Grands Voisins, un site d’occupation temporaire et sociale de 3,4 hectares en plein coeur de Paris. Dès janvier 2016 il prend sa caméra et décide d’aller filmer ses voisins. L’idée lui vient alors de réaliser un film documentaire de 15′ par mois pour dévoiler cette envolée utopique, sociale et artistique de très grande ampleur. Imaginé comme un journal de bord sur une année, les films permettent ainsi aux spectateurs d’entrer dans les coulisses de l’un des plus grands “village solidaire” de France et d’Europe. »