Capussyne

Capussyne

Illustration réalisée pour le bulletin annuel Viele Stück – les plantes fantômes. Encre sur papier, 23x17cm, 2012.

A – fleur
B – vulve
C – utérus
D – ovaire
E – fruit
F – pavillon avec deux cercles de franges
G – étamines
H – feuilles arrondies à limbe entier

1 – endomètre (muqueuse de l’utérus)
2 – ostium uterinum
3 – éperon à nectar
4 – paroi postérieure du vagin
5 – pétiole
6 – akènes du fruit
7 – ligament utéro-ovarien
8 – myomètre
9 – sépales
10 – clitoris et son capuchon
11 – grandes lèvres
12 – troncs lymphatiques émanés des faces
et des bords du corps utérin intra-pelvien
(d’après Sappey)
13 – ganglions
14 – vaisseaux lymphatiques
15 – trompe de Fallope
16 – plexus sous-ovarique
17 – pétales
18 – ostium abdominal
19 – pédoncule souple
20 – oviducte
21 – ligament tubo-ovarien
22 – vésicules de Graff
23 – petites lèvres
24 – fourchette

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La capucine (Tropaelum minus et Tropaelum majus) est originaire des forêts profondes de l’Amérique du sud. Elle doit son nom à la la forme se sa fleur qui évoque celle d’une capuche.
On l’a décrite pour la première fois au XVIe siècle sous le nom de «fleur sanguine du Pérou», ou encore «cresson du Mexique». Parce qu’elle est supposée, à raison, exciter les appétits sexuels, on la baptise aussi «fleur d’amour».

Et si le petit chaperon rouge…

Et si le petit chaperon rouge…

Illustration du conte bien connu, réinventé par les élèves de l’école primaire de Rorschwihr avec comme contrainte le postulat initial « Et si le petit chaperon rouge avait dans son panier… », chaque groupe d’élèves ayant choisi de munir leur héroïne de différents objets afin de pimenter ses aventures. Dessins au graphite et au crayon rouge, format A5 ou A4, 2011.
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