filtrer par type

par couleur

par année

par matière

par thème

La Défense

 

 

 

 

 

Papier peint installé dans les cabines d’ascenseur de l’hôtel Mama Shelter Paris- La Défense. Ce motif personnalisé, sur mesure et dessiné au crayon est une vision fantasmée et futuriste de ce quartier qui est plutôt connu pour son côté froid et impersonnel. Mars 2022.

 

Voir aussi les autres projets pour Mama Shelter.

Planisphère

Grand décor spatial imprimé sur des rideaux satinés et installés dans le lobby de l’hôtel Mama Shelter  Paris-La Défense. Mars 2022.

 

Voir aussi les autres projets pour Mama Shelter.

 

 

Comètes

 

Moquette Comètes dessinée spécialement pour l’hôtel Mama Shelter Paris-La Défense et installée dans les chambres et dans le lobby. Mars 2022.

 

Voir aussi les autres projets pour Mama Shelter.

 

Florens orbis

 

 

 

 

« Balsan est très heureux de vous présenter Florens Orbis, la toute première exposition solo parisienne du designer Baptiste Vandaele. Florens Orbis invite une forêt graphique à envahir le showroom et vous convie à déambuler sur un sol organique, entre mousses et lichens, troncs et racines. Florens Orbis pour « monde florissant », ou « monde prospère ». Florens Orbis comme manifeste d’un monde où la croissance est végétale et où la richesse est vivante. La nature est une source d’inspiration inépuisable pour Baptiste Vandaele – vivier illimité de formes, de couleurs et de textures –, et c’est avec vivacité qu’elle envahis une bonne partie de sa production.

 

Le sol de l’exposition, que Baptiste Vandaele à souhaité luxuriant de détails, est une moquette velour tuftée en 4 couleurs par Balsan grâce à sa toute dernière technologie ColorTech+. Les rideaux et autres textiles qui habillent l’espace ont été conçus spécialement pour l’occasion et sont le fruit d’une collaboration avec Etoffes & Déclinaison. »

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
 

Florens Orbis était une exposition personnelle sur une invitation de Balsan à l’occasion de la Paris Design Week, du 9 au 18 septembre 2021 au Showroom Balsan dans le Marais à Paris. La moquette à été produite par Balsan d’après un modèle dessiné spécialement pour l’occasion, les rideaux et autres textiles coordonnés ont été fabriqués par Étoffes & Déclinaison. Les carreaux de ciments sont toujours édités par Carocim, et la vaisselle artisanale bleue par Burning For. Le lettrage du titre à été dessiné spécialement pour l’occasion. Les photos ci-dessus sont de Tanguy de Montesson.

   

 

 

 

 

 

Mama Lisboa

Dessin pour Mama Shelter Lisbonne utilisé en tissu dans les chambres et en tapis dans le restaurant. Décembre 2021. Voir aussi les autres projets pour Mama Shelter.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Lisboa

Motif aquatique et sinueux pour les chambres (en moquette) et les salles de bain (en carrelage) de l’hôtel Mama Shelter à Lisbonne. Décembre 2021. Voir aussi les autres projets pour Mama Shelter.

 

Mama Lisboa

Grand décor subaquatique pour les couloirs de l’hôtel Mama Shelter à Lisbonne, inspiré par les minutieuses planches de Ernst Haeckel et par le spectaculaire aquarium de Lisbonne. Décembre 2021.

 

 

 

Voir aussi les autres projets pour Mama Shelter.

Passiflora

 

Collection coordonnée de tapis tufté main, tissus imprimés et moquette avec avec Galerie B.

 

 

Juillet 2021

Workshop d’une semaine à Hrdějovice en République Tchèque avec Jitka, Hedvicka and Daša pour développer de nouveaux modèles pour Burning For.

 

 

 

 

Burning For (2)

Quelques nouveaux motifs pour Burning For, déclinés sur de nouvelles assiettes à dessert et de nouvelles tasses à expresso. Juillet 2021.

 

 

 

 

 

 

 

Bocca de la verità

Pastas, pizzas, rococo, basilic, César et gelato, Mama Shelter Roma n’a peur ni des clichés, ni du kitsch et encore moins de l’exubérance. Ce tapis orne le lobby de l’hôtel inauguré en juillet 2021 et mesure environ 5x3m.

 

Voir aussi les autres projets pour Mama Shelter.

Mama Roma

Dessin pour la moquette des chambres de Mama Shelter Roma. Juillet 2021. Voir aussi les autres projets pour Mama Shelter.

 

 

 

Terrazzo

Motif terrazzo pour Mama Shelter Rome, initialement prévu pour la moquette des chambre et les tapis du lobby, finalement non retenu. Mai 2019. Voir aussi les autres projets pour Mama Shelter.

 

 

Évasion

Affiche pour la Villa Mais d’Ici, format A2, février 2021.

 

It’s gonna rain

Papier peint hommage à Steve Reich exposé à La Villa mais d’Ici en septembre 2021 dans le cadre de l’exposition collective « Évasion ». Impression laser sur papier, environ 2x4m.

 

Journal de bord

Affiche illustrée pour la série documentaire de Bastien Simon tournée aux Grands Voisins à Paris (14e). Février 2021.

« En octobre 2015, Bastien Simon installe ses bureaux aux Grands Voisins, un site d’occupation temporaire et sociale de 3,4 hectares en plein coeur de Paris. Dès janvier 2016 il prend sa caméra et décide d’aller filmer ses voisins. L’idée lui vient alors de réaliser un film documentaire de 15′ par mois pour dévoiler cette envolée utopique, sociale et artistique de très grande ampleur. Imaginé comme un journal de bord sur une année, les films permettent ainsi aux spectateurs d’entrer dans les coulisses de l’un des plus grands “village solidaire” de France et d’Europe. »

 

Mélusine

Grand tapis illustré pour Mama Shelter Luxembourg. Installé dans le lobby de l’hôtel, on y voit la fée Mélusine – mi femme, mi serpent – qui fait sa toilette. Environ 5×5 mètres. Août 2020. Voir aussi les autres projets pour Mama Shelter.

 

Mélusine’s kids

Ce deuxième tapis illustré pour Mama Shelter luxembourg présente une galerie de portrait des dix enfants qu’a eu Mélusine avec son époux. Environ 2×5 mètres. Juillet 2020. Voir aussi les autres projets pour Mama Shelter.

 

 

Château hanté

 

Motif château hanté pour Mama Shelter Luxembourg, inspiré par le riche passé médiéval de ce petit pays. Il est installé dans les cabines d’acenseur de l’hotel, entre deux miroirs qui se font face, créant ainsi, grâce à d’infinies réflections, un château s’étendant à perte de vue.

 

Voir aussi les autres projets pour Mama Shelter.

 

Mélusine (n&b)

Version Noir et Blanc du tapis Mélusine, installée dans le restaurant de l’hôtel mama Shelter Luxembourg. Juillet 2020. Voir aussi les autres projets pour Mama Shelter..

Lions mille fleurs

Grand tapis (5×15 mètres !) pour le restaurant de l’hôtel Mama Shelter à Luxembourg. Il est inspiré des tapisseries médiévales dites « Mille fleurs », et du blason du Luxembourg. Août 2020.

Voir aussi les autres projets pour Mama Shelter.

Labyrinthe

Dessin de moquette pour se perdre dans les couloirs de l’hôtel Mama Shelter Luxembourg. Juillet 2020. Voir aussi les autres projets pour Mama Shelter.

Billet de 100

Ce design de moquette orne le sol des 145 chambres de l’hôtel Mama Shelter Luxembourg. Il représente un immense billet de banque qui couvre toute la surface de la chambre, et reprends des éléments architecturaux emblématiques des billets d’euros, ponts et portes qui lient entre eux les pays de l’UE. Juillet 2020. Voir aussi les autres projets pour Mama Shelter.

Phasme

Sérigraphies 2 passages, format A4, disponibles ici. Octobre 2020.

L’or du soir qui tombe

Sérigraphie 1 passage à l’encre dorée, format A3, 24 exemplaires, disponible ici. Septembre 2020.

Oasis urbaine

 

Illustration et design graphique pour les événements de la rentrée de la Villa mais d’ici à Aubervilliers. Affiche 50x60cm, flyer 10x15cm et web. Septembre 2020.

Passiflora

Passiflora est un papier peint modulable composé de carrés et de triangles qui s’assemblent selon une grille géométrique. Les lianes organiques de la passiflore courent d’un module à l’autre, formant une structure qui est décelable avec un peu de recul. Installation réalisée pour l’exposition Oasis Urbaine à La Villa mais d’ici à Aubervilliers.Impression numérique, septembre 2020.

Ciné 32–2020 (à la fenêtre)

 

Affiche pour le 23e festival de cinéma Indépendance(s) & création à Auch dans le Gers, d’après une peinture de jeunesse de Dalí. Voir aussi toutes les autres affiches réalisées pour ce même festival.

 

 

 

Paris Est

Papier peint pour Mama Shelter Paris Est, installé dans les cabines d’ascenseur. Cette vue axonométrique des toits de Paris donne une idée de la densité de cette ville, ainsi que de sa diversité architecturale. On y voit autant les coupoles des grands magasins que les cités du 19e arrondissement. Il existe une version « de jour » et une version « de nuit ». Juillet 2019. Voir aussi les autres projets pour Mama Shelter.

Nuit blanche

Illustration du programme d’octobre des Grands Voisins à Paris. Impression riso deux couleurs (bleu et rouge), format A3, octobre 2019.

Début

 

 

Toute première exposition personnelle à la galerie CORNER à Epinal. Ce nouveau lieu créé et dirigé par Thierry Martin a l’ambition de présenter le dessin dans la diversité de ses pratiques, ses nombreuses applications, et ses liens avec d’autres disciplines de la création. L’exposition met ainsi en regard des dessins originaux – presque tous à l’encre de chine­ – et leurs applications, qu’elles soient dans le cadre de commandes ou de démarches personnelles, liées à l’impression et/ou à l’objet. Le dessin est alors le point commun, le lien, entre différents aspects d’une production et de supports variés : affiches, papiers-peints, carreaux de ciment, sérigraphies, etc.

Du 20 juin au 6 octobre 2019, avec le précieux soutien de Mercier-David et The Mark On The Wall.
 

 

 

Ciné 32–2019 (Narcisse)

Communication pour la 22e édition du festival de cinéma Indépendance(s) et Création à Auch et dans le Gers, d’après Narcisse de Le Caravage.

 

Voir aussi les éditions 2013, 2014, 2015, 2016 (refusée), 2016,  2017, et 2018.

Mama Lille

 

 

Motif de papier-peint pour les cabines d’ascenseur de l’hôtel Mama Shelter à Lille. Impression numérique, août 2019. Voir aussi les autres projets pour Mama Shelter.

 

 

 

Highway to moules frites

Design de tapis pour le lobby de l’hôtel Mama Shelter à Lille. 1,3×5 mètres, août 2019. Voir aussi les autres projets pour Mama Shelter.

Lille île

Design d’une large vue de Lille, imprimée sur rideau pour le restaurant de l’hôtel Mama Shelter à Lille. 3×13 mètres, août 2019. Voir aussi les autres projets pour Mama Shelter.
 

Mer du Nord

Design d’un rideau pour le restaurant de l’hôtel Mama Shelter à Lille. 3×10 mètres, août 2019. Voir aussi les autres projets pour Mama Shelter.

Les eaux de la Manche

 

 

Design de tapis pour le restaurant de l’hôtel Mama Shelter Lille. 5x5m, août 2019. Voir aussi les autres projets pour Mama Shelter.

Lille terrils

Design d’un rideau pour le lobby de l’hôtel Mama Shelter à Lille. 3×10 mètres, août 2019. Voir aussi les autres projets pour Mama Shelter.

Juillet

Illustration du programme de juillet des Grands Voisins à Paris. Impression riso 4 couleurs (rose fluo, jaune, aqua, noir), format A3, juillet 2019.

 

Burning for

 

Burning for est une marque de vaisselle créée en République Tchèque en 2019 par Hana & Pavel Storch, Tomáš Černý et Baptiste Vandaele, dont l’ambition est d’allier savoir-faire traditionnel et design contemporain.

 

Burning for propose pour l’instant des assiettes, des bols et des tasses, entièrement fabriqués et peints à la main selon un savoir faire artisanal tchèque. La première collection décline 6 dessins de Baptiste Vandaele sur les courbes épurées de la vaisselle conçue par Tomáš Černý. Plus d’informations sur fb et ig.

 

 

 

 

Or+vert

Deux cartes postales imprimées en risographie. 10x15cm, 200 ex, mai 2019.

 

 

 

Costume n°2

Création d’un costume pour le Carnaval Animal des Grands Voisins (Paris 14e).

 

Grillage et couverture de survie, environ 2m de hauteur, mars 2019. Voir aussi Costume n°1 (Kukeri). Photos Lucas Bonnel.

Costume n°1 (Kukeri)

 

Création d’un costume pour l’événement Choc thermique aux Grands Voisins (Paris 14e).

Grillage et couverture de survie, environ 2,25m de hauteur, février 2019. Voir aussi Choc Thermique et Costume n°2. Photos Yes We Camp et Lucas Bonnel.

 

Choc thermique 2°

Création de deux affiches pour l’événement Choc thermique 2° organisé par Atelier A+1 et les Grands Voisins à Paris (14e) début février 2019. Il s’agit d’un village thermal à ciel ouvert animé de divers et festifs concerts, performances, radio, restauration, etc.

 

Cette créature joyeuse et poilue est inspirée du kukeri bulgare, costume traditionnel utilisé pour chasser les mauvais esprits de l’hiver et assurer bonnes récoltes, joie et santé au village.

 

Format A3, impression de 2×100 exemplaires en risographie 2 couleurs, février 2019. Voir aussi Costume n°1 (Kukeri).

 

 

 

 

 

Solid works

Dessin au raccord pour la moquette des espaces communs de Mama Works à Lille. Dessin original au feutre, 30x30cm, février 2019. Voir aussi les autres créations pour Mama Shelter.

 

 

 

 

 

 

Aux livres de mes ruches

Illustration pour le blog littéraire Aux livres de mes ruches. Encre sur papier, format A4, décembre 2018.

Branches d’hiver

Motif hivernal en métal ajouré,

décembre 2018.

Le paradis du fruit

Les carreaux de ciment Les petites combines se voient installés au Paradis du Fruit Bercy (Paris 13e), tandis qu’ils sont toujours disponibles auprès de Carocim.

 

Septembre 2018. Voir aussi Les petites combines et les petites combines hexagonales.

Mama Praha

 

Design de moquette pour les 235 chambres de l’hôtel Mama Shelter à Prague, inspiré par la très spécifique et unique architecture cubiste tchèque. Juillet 2018.

 

Voir aussi les autres projets pour Mama shelter.

Endless view on Prague

from above

 

 

 

Papier peint installé dans les cabines d’ascenseur de l’hôtel Mama Shelter à Prague. Juillet 2018.

 

Voir aussi les autres projets pour Mama shelter.

 

Mama Shelter Belgrade

 

 

Rideau installé dans le hall d’accueil et les couloirs de l’hôtel Mama shelter à Belgrade. Architecte du projet : Jalil Amor. Juin 2018.

 

Voir aussi les autres projets pour Mama shelter.

«Dobro jutro, Beograde»

 

 

Papier peint installé dans les cabines d’ascenseur de l’hôtel Mama shelter à Belgrade, et citant l’ouvrage « Dobro jutro, Beograde » du poète, écrivain et journaliste serbe Duško Radović. Architecte du projet : Jalil Amor. Juin 2018.

 

Voir aussi les autres projets pour Mama shelter.

 

Ciné 32–2018 (Glass tear)

Communication pour la 21e édition du festival de cinéma Indépendance(s) et Création à Auch et dans le Gers, d’après une célèbre photo de Man Ray.

 

Voir aussi les éditions 2013, 2014, 2015, 2016 (refusée), 2016 et 2017.

 

E+T

 

Carte d’invitation pour un mariage tchèque. Dessin à l’encre, format A4, impression risographie vert+orange fluo, 100 exempaires, juillet 2018.

OPPERA saison 2

Identité graphique et communication pour OPPERA Orchestre Symphonique tout terrain de Montreuil. Divers supports print et web, depuis 2015.

Paysages intérieurs
pour Bazartherapy

 

 

 

 

 

 

Collection de tables basses et guéridons éditée par Bazartherapy et The Mark On The Wall. Bocage belette et Canyon cristal sont déclinés en plusieurs formats et plusieurs couleurs. Impression numérique sur du stratifié compact haute densité, finition glossy, pieds en bois tourné. Mai 2018.

 

Disponible chez Bazartherapy (au 15 rue Beaurepaire à Paris) et sur Archiproducts.

 

Voir également Bocage belette, Colline corail, Canyon cristal, Vallée volcan et Plateaux paysage.

Paysages plateaux

Déclinaison des Paysages intérieurs sous forme de plateaux en bois. Deux modèles (Colline corail et Bocage belette) disponibles en deux formats (38cm de diamètre et 15x32cm) et deux couleurs (sépia et indigo). Disponible chez Bazartherapy et The Mark On The Wall.

 

Voir aussi Bocage belette, Colline corail, Canyon cristal, Vallée volcan et la collection de tables et guéridons paysages intérieurs. Mai 2018.

 

 

 

Animal EP
– People EP

Illustration des pochettes des deux premiers EPs de dismaze, Animals et People.

 

Pour dismaze, voir aussi Plastic Snakes, Octopus, Stickers, tote-bag, Dismazing, Animals, People et T-shirt.

 

Tote-bag dismaze

 

 

 

 

 

 

Tote-bag promotionnel pour dismaze. Edition de 50 exemplaires, février 2018.

 

Pour dismaze, voir aussi Plastic Snakes, Octopus, Stickers, T-shirt, Dismazing, Animals et People.

 

People

Affiche pour dismaze, impression offset, 40x60cm, 100 exemplaires, février 2018.

Pour dismaze, voir aussi Plastic Snakes, Octopus, Stickers, tote-bag, Dismazing, Animals et T-shirt.

Animals

Tirage en sérigraphie (3 ou 4 couleurs) de l’illustration réalisée pour la pochette de l’EP Animals de dismaze. Format 40×60, 50 exemplaires, février 2018.

Pour dismaze, voir aussi Plastic Snakes, Octopus, Stickers, tote-bag, Dismazing, T-shirt et People.

 

 

 

Stickers dismaze

Stickers promotionnels pour dismaze. Février 2018.

 

Voir aussi Plastic Snakes, Octopus, T-shirt, tote-bag, Dismazing, Animals et People.

 

 

Dismazing

Typographie exclusive dessinée pour Dismaze. Décembre 2017, capitales à venir…

 

OPPERA saison 1

Identité graphique et communication pour OPPERA Orchestre Symphonique tout terrain de Montreuil. Divers supports print et web, depuis 2015.

Les Petites Combines hexagonales

La collection de carreaux de ciment les Petites Combines – éditée par Carocim – se voit grandir de 6 nouveaux modèles, hexagonaux cette fois-ci, et disponibles en 2 variantes de couleurs.

Les Petites Combines – Le retour

Les Petites Combines sont de retour chez Carocim sous la forme d’une collection de 6 modèles de carreaux de ciment hexagonaux. A suivre avec The Mark On The Wall.

Bocage belette

 

papier peint baptiste vandaele paysage pour the mark on the wall

 

papier peint baptiste vandaele paysage pour the mark on the wall

 

 

 

Bocage belette est un des quatre modèles de la collection de papier peint Paysages intérieurs développée pour The Mark On The Wall en 2016 et 2017. Il s’agit de 4 panoramas muraux oversize luxuriants et poétiques qui s’adaptent sur mesure à toutes dimensions de murs. Déclinés en 3 camaïeux (indigo, sépia et grisaille), ils peuvent également être utilisés en décors de porte ou en tête de lit.

 

Voir aussi Vallée volcan, Canyon cristal,  Colline corail et la collection complète chez The Mark On The Wall.

 

 

 

Colline corail

 

 

 

Colline corail est un des quatre modèles de la collection de papier peint Paysages intérieurs développée pour The Mark On The Wall en 2016 et 2017. Il s’agit de 4 panoramas muraux oversize luxuriants et poétiques qui s’adaptent sur mesure à toutes dimensions de murs. Déclinés en 3 camaïeux (indigo, sépia et grisaille), ils peuvent également être utilisés en décors de porte ou en tête de lit.

 

Voir aussi Canyon cristal, Bocage belette, Vallée volcan et la collection complète chez The Mark On The Wall.

 

 

papier peint baptiste vandaele paysage pour the mark on the wall

Canyon cristal

 

 

papier peint baptiste vandaele paysage pour the mark on the wall

 

 

 

Canyon cristal est un des quatre modèles de la collection de papier peint Paysages intérieurs développée pour The Mark On The Wall en 2016 et 2017. Il s’agit de 4 panoramas muraux oversize luxuriants et poétiques qui s’adaptent sur mesure à toutes dimensions de murs. Déclinés en 3 camaïeux (indigo, sépia et grisaille), ils peuvent également être utilisés en décors de porte ou en tête de lit.

 

Voir aussi Vallée volcan, Bocage beletteColline corail et la collection complète chez The Mark On The Wall.

 

 

papier peint baptiste vandaele paysage pour the mark on the wall

 

Vallée volcan

 

papier peint baptiste vandaele paysage pour the mark on the wall

 

 

Vallée volcan est un des quatre modèles de la collection de papier peint Paysages intérieurs développée pour The Mark On The Wall en 2016 et 2017. Il s’agit de 4 panoramas muraux oversize luxuriants et poétiques qui s’adaptent sur mesure à toutes dimensions de murs. Déclinés en 3 camaïeux (indigo, sépia et grisaille), ils peuvent également être utilisés en décors de porte ou en tête de lit.

 

Voir aussi Canyon cristal, Bocage beletteColline corail et la collection complète chez The Mark On The Wall.

 

 

papier peint baptiste vandaele paysage pour the mark on the wall

papier peint baptiste vandaele paysage pour the mark on the wall

Starfix – souvenirs

du futur

Design éditorial de l’ouvrage Strafix ­– souvenirs du futur, en collaboration avec Paola Boileau pour les éditions Hors Collection et Starfix productions. 320 pages, octobre 2016.

 

 

 

 

Octopus

Pochette du single Octopus de DIS/MAZE.

Plastic snakes

baptiste-vandaele-plasticsnakes
Pochette du single Plastic Snakes de DIS/MAZE.

Les Petites Combines
pour Carocim

baptiste-vandaele-carocim3

 
Après les frises Les Petites Combines et les papiers peints Les Grandes Combines pour The Mark On The Wall, voici Les Petites Combines déclinées au sol, avec une collection de carreaux de ciment pour Carocim.

 

Après avoir éprouvé la souplesse du papier, les combines s’ancrent dans l’épaisseur du ciment. Après avoir exploré l’exactitude du dessin vectoriel, elles se parent des imprécisions liées au travail manuel d’un matériau naturel.

 

Les 8 modèles sont déclinés dans 5 couleurs, mesurent 20 cm de côté et 16 ou 20 mm d’épaisseur.

 

Plus chez Carocim
et The Mark On The wall

baptiste-vandaele-carocim4
baptiste-vandaele-carocim1
baptiste-vandaele-carocim36
baptiste-vandaele-carocim25
baptiste-vandaele-carocim21
 
baptiste-vandaele-carocim2
 
baptiste-vandaele-carocim30
baptiste-vandaele-carocim23
baptiste-vandaele-carocim18
baptiste-vandaele-carocim32

The Tile Setter

 

Vidéo de présentation de la collection de carreaux de ciment Les Petites Combines pour Carocim, sur une musique originale de DIS/MAZE.

RUN RUN RUN

Livret de l’exposition RUN RUN RUN qui a lieu du 2 octobre au 30 décembre 2016 à la Villa Arson à Nice et qui célèbre les artist-run spaces, ces lieux de création et d’exposition qui sont fondés et gérés par des artistes eux-mêmes. En collaboration avec Red District, format A5, 8 pages.

 

 

baptiste-vandaele-runrunrun-1

 

baptiste-vandaele-runrunrun-2

 

baptiste-vandaele-runrunrun-6

Ciné 32 ­– 2016 
(Don Quichotte)

Communication pour la 19e édition du festival de cinéma Indépendance(s) et Création à Auch et dans le Gers. D’après le Don Quichotte d’Honoré Daumier.

Voir aussi les éditions 20132014, 2015 et 2016 (refusée).

baptiste-vandaele-donquichotte

Ciné 32 ­– 2016 (Le Rêve)

Cette affiche, écartée en raison des droits exorbitants réclamés par la famille Picasso (car c’est une citation du tableau Le Rêve), est un manifeste dédié au plaisir de s’assoupir au cinéma. C’est aussi une personnification du cinéma mise en abîme; des images extraordinaires sont projetées sous les paupières, le film est un rêve…

Voir aussi les éditions 20132014, 2015, et 2016.

baptiste-vandaele-lereve

Motifs à géométrie variable

baptiste-vandaele-geom1
Longue série de motifs au raccord, prolongement des recherches graphiques initiées avec le papier peint à géométrie variable et les dessins à géométrie variable

Dessin à l’encre, format 15×15 cm, série en cours depuis 2015.

baptiste-vandaele-geom2

baptiste-vandaele-geom3

baptiste-vandaele-geom4

baptiste-vandaele-geom5

Typographie 
sans nom n°3

 

baptiste-vandaele-type3-4

 

160920-camera

 

160920-camera

Typographie n°2 : Sybille

Typographie modulaire initiée en 2012 avec CLDesign pour l’identité graphique du Musée des Confluences de Lyon.

Sybille figure dans le catalogue des Rencontres internationales de Lure, Après\\\Avant, 2013.

typographie sybille modular font design
baptiste-vandaele-typo2-9
baptiste-vandaele-typo2-3
baptiste-vandaele-typo2-8
baptiste-vandaele-typo2-5

La Ferme l’Hirondelle
et le fromage
Le Ribeaupierre

 

ferme l'hirondelle cigognes alsace

baptiste-vandaele-ferme-13

L’identité graphique de la Ferme l’Hirondelle et de son produit phare, le fromage le Ribeaupierre, repose sur trois logos coordonnés, dessinés à l’encre. Ils sont accompagnés d’une dizaine de motifs illustrant les saveurs fromagères, et qui enrichissent l’univers graphique.

 

La communication de la ferme sur le territoire alsacien met en avant le caractère fermier et local de sa production, notamment autour du magasin-bar de la ferme, où les produits frais sont vendus directement aux consommateurs, sans intermédiaire.

 

Logos, identité graphique, affiches, cartes de visite, site internet, illustrations, photographies, étiquettes alimentaires, annonces presse, etc., Depuis 2013.

 

Plus de fromage sur leribeaupierre.com
et sur facebook.

 

 

 

baptiste-vandaele-ferme-10

SONY DSC

baptiste-vandaele-ferme-11

 

 

 

baptiste-vandaele-ferme-16

 

 

 

 

 

SONY DSC

 

baptiste-vandaele-ferme-9

SONY DSC

baptiste-vandaele-ferme-12

Motifs fromagers

12 motifs au raccord, éléments de l’identité graphique de la Ferme l’Hirondelle, Encre sur papier et couleurs numériques, 2013. Voir aussi la ferme l’Hirondelle.
baptiste-vandaele-motiff2
baptiste-vandaele-motiff7
baptiste-vandaele-motiff4
baptiste-vandaele-motiff5
baptiste-vandaele-motiff1
baptiste-vandaele-motiff8

Tummelplatz
–book from the woods

Livret bilingue (allemand et tchèque) entièrement réalisé en pleine forêt, dans le Parc Naturel de Bavière, lors du 5e Symposium international Na Hranici – Grenznah et imprimé en gravure sur bois à 5 exemplaires, format 16x22cm, en août 2013.

 

Installation d’un atelier d’impression en plein air, et performance d’impression lors du vernissage de l’exposition.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

SONY DSC

 

 

 

Extension du domaine

Extension du domaine est un papier peint expérimental constitué de modules à assembler. Ils sont élaborés selon un pavage de Penrose qui permet très simplement de couvrir le plan de façon uniforme mais non périodique, c’est-à-dire sans espace interstitiel et sans effet de répétition visible. Ce dispositif permet ici, par le biais de la topographie, de représenter un espace fictif, que l’on imagine plutôt naturel, boisé, accidenté. Il forme un vaste domaine sans clôture, ponctué d’habitations, de lacs et de montagnes.

Les outils de la cartographique sont utilisés ici non pas dans un but d’exactitude, mais servent à dresser les codes d’un monde fantastique et irréel.

Le principe de modularité donne à voir une surface bien plus étendue que celle du mur, prolongée virtuellement à l’infini.

Impression laser sur papier, dimensions variables. Installation réalisée pour l’exposition à partir d’ici/distance retour à la galerie NaMiMa à Nancy en mars 2013.

Impression
baptiste-vandaele-domaine2
 

baptiste-vandaele-domaine4
baptiste-vandaele-domaine3
 

Impression

Capussyne

Illustration réalisée pour le bulletin annuel Viele Stück – les plantes fantômes. Encre sur papier, 23x17cm, 2012.

A – fleur
B – vulve
C – utérus
D – ovaire
E – fruit
F – pavillon avec deux cercles de franges
G – étamines
H – feuilles arrondies à limbe entier

1 – endomètre (muqueuse de l’utérus)
2 – ostium uterinum
3 – éperon à nectar
4 – paroi postérieure du vagin
5 – pétiole
6 – akènes du fruit
7 – ligament utéro-ovarien
8 – myomètre
9 – sépales
10 – clitoris et son capuchon
11 – grandes lèvres
12 – troncs lymphatiques émanés des faces
et des bords du corps utérin intra-pelvien
(d’après Sappey)
13 – ganglions
14 – vaisseaux lymphatiques
15 – trompe de Fallope
16 – plexus sous-ovarique
17 – pétales
18 – ostium abdominal
19 – pédoncule souple
20 – oviducte
21 – ligament tubo-ovarien
22 – vésicules de Graff
23 – petites lèvres
24 – fourchette

baptiste-vandaele-capussyne-5

La capucine (Tropaelum minus et Tropaelum majus) est originaire des forêts profondes de l’Amérique du sud. Elle doit son nom à la la forme se sa fleur qui évoque celle d’une capuche.
On l’a décrite pour la première fois au XVIe siècle sous le nom de «fleur sanguine du Pérou», ou encore «cresson du Mexique». Parce qu’elle est supposée, à raison, exciter les appétits sexuels, on la baptise aussi «fleur d’amour».

Lonely are the brave

baptiste-vandaele-cpwboy
Participation au fanzine d’illustration européen « Hi Yo Silver! ». Dessin à l’encre, format A4, 2012.

Tree family
– fanzine plein d’amis

 

Fanzine colaboratif, 14 participants, 84 pages, format A5, impression laser, 2012. Voir aussi Mustergenerator et Tree Family.

baptiste-vandaele-fanzine2

baptiste-vandaele-fanzine8

baptiste-vandaele-fanzine5

baptiste-vandaele-fanzine6

baptiste-vandaele-fanzine7

baptiste-vandaele-fanzine4

baptiste-vandaele-fanzine1

Papier peint
à géométrie variable

baptiste-vandaele-geopp5

 
Papier peint expérimental et modulable à imprimer chez soi. Dix modules différents – disponibles en format PDF et reproductibles à la photocopieuse sur le papier de son choix – s’assemblent sur une grille isométrique triangulaire de sorte à former un pavage homogène, mais sans répétition visible, contrairement à un lé de papier peint classique.
Les motifs eux mêmes sont une exploration de la simplicité géométrique apparente du triangle, simplicité à opposer à la complexité de ces assemblages géométriques.

Impression laser sur papier gris, installation réalisée à la Galerie NaMiMa à Nancy en 2012. Voir aussi les dessins à géométrie variable et les motifs à géométrie variable.

 
baptiste-vandaele-geopp4
baptiste-vandaele-geopp3

 

baptiste-vandaele-geopp2

Mustergenerator
(Tree Family)

Mustergenerator (générateur de motif) est le fruit d’une longue exploration des possibilités offertes par le jeu de construction Tree Family.

 

Ce livre de 1000 pages au format A3 présente une collection de 500 motifs aux allures de racines, branches et écorces. Les pages intérieures sont en papier cyclus offset 110g, et la couverture toilée est imprimée sous presse typographique.

 

Voir aussi Tree Family et Tree Family-Fanzine.

SONY DSC

SONY DSC
SONY DSC
SONY DSC
SONY DSC
SONY DSC
SONY DSC

Nulle part
est le vide

 

Nulle part est le vide est un générateur de citations. A partir de trente citations d’auteurs ayant la même construction grammaticale, il est possible, par permutation et combinaison d’éléments textuels, de composer vingt sept mille citations, fausses, incongrues, incohérentes, drôles, mais souvent vraisemblables… Ce livre constitue une compilation complète de l’ensemble des vingt sept mille citations, classées par thèmes, et présentées comme autant de réponses possibles à des questions très diverses concernant la vie, l’amour, la mort, le spectacle, le fromage…

 

A la manière de Raymond Lulle qui, en 1308 dans son ouvrage L’Art Bref, tentait d’élaborer une méthode universelle d’investigation de la vérité, Nulle part est le vide transforme vérités particulières en vérité générale.

 

Les citations d’auteurs étant un moyen simple, rapide et efficace de contextualiser un propos tout en lui donnant du poids et de la légitimité, celles présentées dans ce recueil s’inscriront de manière adéquate et propice en début d’ouvrage, en tête de chapitre ou encore sur les réseaux sociaux.

 

Nulle part est le vide, 30 auteurs, 27000 citations, 230 pages, format 18×28 cm, édition de 3 exemplaires imprimés sur du papier vergé « Director » gris 110g et composé avec le caractère Origami. Le titre est composé en Univers condensé, et imprimé sur presse typographique.

 

SONY DSC

 

 

SONY DSC

 

SONY DSC
Imprimer

 

SONY DSC

 

baptiste-vandaele-citation-7
baptiste-vandaele-citation-8

Tree Family

Tree family est un jeu de construction graphique composé d’un ensemble de tampons permettant de donner vie à des arbres anthropomorphes. Dans chaque tampon – un carré de gomme de 7cm de côté – est gravé une portion d’arbre: branche, tronc ou racine.

 

Le fruit de ces assemblages est une curieuse famille de bosquet. Jumeaux, apparemment parents, certains d’entre eux ont des pieds pour racines, d’autres des branches pour cheveux. Tous ont pour bras des troncs et pour peau de l’écorce. Apparaissent quelques fois une vielle tante éloignée, une fratrie de triplés ou un neveu nouveau-né… Aïeux et benjamins, cousins germains, gendres et concubins forment les ramifications de cet arbre généalogique.

 

Impressions au tampon sur papier, 60x80cm, 2011, 2012.

 

Voir aussi Mustergenerator et Tree Family-Fanzine.

baptiste-vandaele-treefamily8
baptiste-vandaele-treefamily2
baptiste-vandaele-treefamily5

baptiste-vandaele-treefamily7
baptiste-vandaele-treefamily4
baptiste-vandaele-treefamily3
baptiste-vandaele-treefamily1
baptiste-vandaele-treefamily6

Conjoncture du site
– jeu de construction

baptiste-vandaele-memoire1
baptiste-vandaele-memoire3

 

baptiste-vandaele-memoire2

 

 

baptiste-vandaele-memoire6.jpg

 

 

Mémoire de fin d’étude sur le jeu et la construction. Exploration de la notion de modularité dans les champs de l’art, de l’architecture, du design, de la musique, etc.  

 

Poster 170x120cm, format plié 40x28cm, impression numérique, édition de 7 exemplaires, enveloppe sérigraphiée, 2012.

baptiste-vandaele-memoire5

 

Dessins à géométrie variable

baptiste-vandaele-geod1

 

baptiste-vandaele-geod2

 

baptiste-vandaele-geod3

 

baptiste-vandaele-geod4

baptiste-vandaele-geod5

 

baptiste-vandaele-geod6

 

baptiste-vandaele-geod7

 

baptiste-vandaele-geod8

 

Dessins à l’encre, format 17×24 cm,
série en cours depuis 2011. Voir aussi les motifs à géométrie variable, et le papier peint à géométrie variable.

 

Et si le petit chaperon rouge…

Illustration du conte bien connu, réinventé par les élèves de l’école primaire de Rorschwihr avec comme contrainte le postulat initial « Et si le petit chaperon rouge avait dans son panier… », chaque groupe d’élèves ayant choisi de munir leur héroïne de différents objets afin de pimenter ses aventures. Dessins au graphite et au crayon rouge, format A5 ou A4, 2011.
baptiste-vandaele-loup6
baptiste-vandaele-loup2
baptiste-vandaele-loup8
baptiste-vandaele-loup7
baptiste-vandaele-loup5

Interview Marc Vatinel
– Haut-du-Lièvre

baptiste-vandaele-hdl-5
baptiste-vandaele-hdl-2

 

baptiste-vandaele-hdl-3

 

baptiste-vandaele-hdl-4

 

 

Magazine A4, 32 pages, 30 exemplaires, en collaboration avec Benjamin Baudet.

 

 

Pouvez-vous rapidement décrire le contexte dans lequel ce travail a été réalisé (dates, commanditaires, acteurs etc.) ? S’inscrit-il dans le cadre du «un pour cent artistique» obligatoire dans chaque projet public ?
Marc Vatinel, paysagiste et auteur des cinq installations dans le parc du Haut-du-lièvre à Nancy: Notre projet fait partie du un pour cent artistique, mais représente beaucoup moins que un pour cent. L’urbaniste paysagiste qui s’occupe du Haut-du-Lièvre, c’est Alexandre Chemetoff, je travaille depuis longtemps avec lui, il a une manière un peu particulière de travailler. Il a tout simplement une très belle agence avec un très beau jardin. Alexandre et moi estimons que ce jardin, il ne faut pas l’entretenir mais le jardiner. Entretenir un jardin, c’est finalement courir à sa perte, parce qu’on empêche toute évolution du jardin. Or les végétaux ne demandent qu’une chose, c’est d’évoluer. A partir du moment où on le jardine, on travaille l’espace du jardin en acceptant une évolution de cet espace. Je suis architecte paysagiste, j’ai fait l’école de Versailles et je me suis mis à mon compte en profession libérale, comme tous les architectes. Et j’en ai eu marre de ce statut parce qu’un architecte en profession libérale ne fait que dessiner des projets et n’a pas le droit de les réaliser. Et comme j’avais envie de réaliser ce que je dessinais, je me suis installé en tant qu’artisan. Ce qui ne m’empêche pas du tout de concevoir de grands projets, ou de travailler avec une équipe. Si une profession dite «intellectuelle» n’a pas le droit de réaliser, aucun texte de loi n’interdit à un artisan de réfléchir. Heureusement. Donc, je me suis mis à jardiner, je fais des chantiers et Alexandre m’a appelé pour jardiner le jardin de son agence. On s’est bien entendus, et il se trouve que je rentrais bien dans le cadre pour intervenir au Haut-du-Lièvre.

 

Pouvez-vous expliquer le fonctionnement et les enjeux de chacune de ces cinq pièces paysagères ?

M.V. : Le parc est fait dans un souci d’économie de moyens. Au lieu de ramener des bulldozers, de tout foutre en l’air et de créer un «très beau parc», qu’il n’est pas possible de faire vivre après pour des raisons de coût tout simplement, Alexandre a décidé de «faire avec» au maximum. On a une végétation a la fois naturelle et plantée qui à environ vingt-cinq ans. Alexandre a sculpté dedans de grandes percées, de manière à dégager de grands espaces, et ces grands espaces encouragent les arbres qu’on laisse à bien se développer. On va dire qu’on avait une situation un peu bâtarde, et que cette situation a été clarifiée par des espaces en herbe et des espaces boisés. Comme ça a été fait «en faisant avec» la situation existante, la végétation est essentiellement une végétation spontanée. Donc c’est un projet un peu bio, un peu développement durable, et tout ça, c’est une politique vraiment très intéressante. Les végétaux ne proviennent pas de graines importées de Chine, mises à germer en Hollande, les arbres poussant en Allemagne et ensuite plantés à Nancy. C’est quelque chose de beaucoup plus direct, c’est principalement la nature qui organise la plantation du parc. Alexandre m’a demandé d’intervenir, il m’a demandé ce que je pouvais faire au sein de ce parc. Et moi, pour valider son choix de développement durable, j’ai voulu mettre un cheveu sur la soupe ou mettre mon grain de sel. C’est-à-dire que finalement, les parcs tel qu’on les fait aujourd’hui, il y a de grosses machines qui passent. Alexandre fait plutôt avec de petites machines, et son intervention est discrète. Du coup, j’ai voulu la mienne exprès pas discrète. C’est la raison pour laquelle j’ai ramené des végétaux exotiques, j’ai construit volontairement avec des matériaux importés. En fait, j’ai pris le contre-pied de la politique globale d’Alexandre, de manière à justement montrer à quel point sa politique est intéressante. C’est en prenant le contre-pied que l’on démontre le mieux la pertinence du travail de l’ensemble. Toutes ces pièces, elles singent, elles imitent des typologies végétales qui existent dans la nature. Une typologie végétale est un groupement d’espèces végétales caractéristiques à un milieu. Par exemple, une prairie est une typologie végétale. On va dire que c’est ce que l’on trouve à l’état spontané dans la nature. Donc mes installations, que j’ai appelées «excroissances» imitent des typologies végétales qui sont en place. Par exemple au sein d’une prairie, j’ai installé «l’herbier», en fait, je ne fais que planter des herbes parmi les herbes. Vous voyez un peu ma démarche ? A côté, il y a des pinèdes qui sont déjà existantes et qui ont été mises en valeur. J’ai fait ce que j’ai appelé «la grande pinède», avec un jeu d’échelle, non pas parce qu’elle est très haute, mais parce qu’il y a plus de pins dans la pinède que j’ai faite que dans le carré de pins qu’il y a juste à côté. Les pins que j’ai utilisés sont riquiqui, ce sont des pins qui sont naturellement nains. Il s’agit de prendre conscience de l’échelle de la pinède existante par rapport à celle que j’ai faite moi. Dans celle que j’ai faite moi, on a presque envie d’y jouer avec des playmobiles et finalement nous, en tant que joueurs de playmobiles, nous sommes des playmobiles par rapport au vrais grands pins.

 

Quel est votre rapport à l’art contemporain, au design et au paysagisme, comment vous situez-vous entre ces trois pôles ?
M.V. : Je me situe en tant que Jardinier avec un grand J, c’est à dire que ce que je fais est forcement contemporain, par définition. Ce qui m’intéresse dans mon activité, c’est ce qui m’échappe. C’est-à-dire que moi je plante des choses et à un moment ça va m’échapper. D’une part, parce que je ne serai plus là, puisque je bouge beaucoup et d’autre part parce qu’un jour je vais mourir, tout simplement. Je ne sais pas quand, je ne suis pas pressé, mais un jour je vais mourir, et ce que j’ai planté aura poussé, se sera ressemé, ça aura peut-être même voyagé. Voilà ce qui m’intéresse, c’est ça : le devenir de mes installations. Sachant que cela peut devenir quelque chose de très bien si c’est bien jardiné, ou complètement sordide si c’est mal entretenu. Par exemple, quand je parle des choses qui se sauvent, dans toutes les excroissances, j’ai construit avec du bois. Il est là pour indiquer d’une part qu’il y a des plantations, parce qu’elles sont très petites, et d’autre part pour protéger ces plantations des agressions des machines qui entretiennent le parc. Seulement on peut très bien imaginer d’ici quatre ou cinq ans, que ce bois soit enlevé, ça ne pose aucun problème, la végétation sera là d’elle-même, et suffisamment installée pour ne plus avoir besoin de cette protection et de ce bois qui sert aussi de signalétique.

 

Vous avez beaucoup voyagé et travaillez avec des gens très différents. Quelles sont vos influences, filiations et inspirations ?
M.V. : Mes influences, alors, il y a Alexandre Chemetoff, tout simplement, en tant que paysagiste, il y a Roberto Burle Marx, paysagiste également, et Jean-Luc Brisson un grand monsieur du jardin et du paysage, qui est plasticien jardinier.

 

Comment pensez-vous le rapport entre fonctionnel et in-fonctionnel, utile et inutilisable dans ces cinq objets paysagers ?
M.V. : Il faut que ce soit le visiteur qui lui trouve sa propre fonctionnalité. Par exemple, un homme pressé ne verra qu’un banc, alors qu’un enfant verra peut-être qu’il y a des fraises des bois et que ça vaut peut-être la peine de les cueillir. Donc, pour l’homme, ce ne sera qu’un jalon dans son jogging (et c’est déjà ça), et pour le petit garçon, ce sera un réceptacle de fraises.

 

Que pensez-vous du mobilier «home made » fabriqué directement avec le matériel présent dans le parc ? Avez-vous réfléchi à un éventuel rapport entre ce mobilier brut et vos installations ?
M.V. : Ce mobilier «home made», je le trouve très intéressant. Après, il y a ce look rustique, qui moi me dérange un peu de temps en temps, mais la base est vraiment intéressante parce que cela montre que l’on peut faire des choses. Même quand on n’a pas grand chose, on peut quand même faire des choses. Ca permet en plus de fabriquer des bancs avec du bois qui n’est pas traité, des choses comme ça. Ce qui compte, c’est qu’il y ait du monde qui s’asseye sur ce banc, et on s’en fiche de la vraie durabilité du banc. On a pas besoin d’un banc qui dure trois cents ans, cela n’a aucune espèce d’intérêt à mes yeux.

 

Les riverains nous ont fait part de leur pessimisme quant à l’appropriation de ce parc par les habitants de ce quartier, ils pensent qu’il sera le lieu de prédilection des dealers et des prostituées. Votre expérience du paysagisme et de l’urbanisation vous permet-elle de confirmer, ou au contraire d’infirmer cette hypothèse ?
M.V. : C’est la trouille de tout nouveau projet. C’est vrai dans le paysage comme dans l’urbain, c’est vrai dans tout. Dès qu’il y a quelque chose de nouveau, c’est décrié. Il faut se rappeler du périphérique de Paris, quand il a été construit tout le monde criait au fou parce qu’il n’y aurait jamais assez de voitures pour l’emprunter. Bon bin, aujourd’hui il est bondé en permanence. Dès qu’il y a un nouveau projet, de toute façon, tout le monde crie au fou et au scandale et aux dealers etc. Mais les choses sont dans l’ordre, ce parc ne va pas produire des dealers supplémentaires. En plus, ce parc est pas mal en plein vent, le dealer n’a aucune raison de rester à se cailler les miches en plein vent, alors qu’il pourrait dealer au pied d’un immeuble. Donc ce parc ne va pas faire fuir les dealers, mais il ne va pas les attirer non plus. De toute façon, il ne fabrique pas de dealers. Ce pessimisme est à la fois normal et navrant, c’est un peu dommage quoi.

 

Compte tenu du contexte social et politique du Haut-du-Lièvre, quelle pertinence attribuez-vous à ce projet ? Nous nous permettons de poser cette question en raison de ce que nous ont dit les riverains, qui auraient préféré voir cet argent dépensé autrement, dans des actions sociales auprès de la jeunesse notamment. Quelle réception attendez-vous de la part des habitants du quartier ?
M.V. : Pour ce qui est de la réception de la part des habitants du quartier, c’est toujours très difficile. Disons que le but, c’est qu’ils prennent leur pied, dans tous les sens du terme. C’est-à-dire qu’il faut que chaque personne puisse s’approprier le parc, en principe sans nuire aux autres. Par exemple, je sais que si j’avais été collégien dans ce parc au mois de mai en deux-mille-dix, j’y aurais emmené ma petite copine pour butiner. Au mois de mai, je trouve que c’est plutôt pas mal, plutôt qu’un parc crasseux. Je crois que c’est un endroit où l’on peut faire la sieste, et de toute façon je crois que cet endroit va très bien évoluer. Il ne peut que bien évoluer parce qu’il n’y a pas grand-chose de fait. Si l’on prend un projet complètement autre, regardez ce qui a été fait dans les années quatre-vingts, là aussi je prends un exemple parisien même si je suis Havrais, au niveau des Halles centrales. Il y a un parc qui a coûté une fortune absolument considérable et qui a été sur-dessiné avec tout ce qu’il fallait en mobilier, revêtement dur, etc. Là c’était sordide ! On disait aux gens : «toi, tu t’assieds là !», «toi, tu te promènes ici !», «tu vas tout droit», «tu ne marches pas sur la pelouse !», «tu fais attention à ça». Il y a un côté hyper dirigiste qui ne marche pas du tout. Là, au Haut-du-Lièvre, le parc a une telle superficie par rapport au nombre d’habitants qu’il y a autour, je pense qu’on a un ratio qui est assez confortable. Donc, je pense qu’il ne peut évoluer que bien et je crois que plus tard on pourra très bien mettre des bancs plus pérennes, mais on les placera là où les gens auront décidé de passer, en observant les chemins de chèvre ( piétinements du sol non prévu par les concepteurs, créés par les habitants du lieu ) et en les jalonnant de bancs. C’est par l’observation de l’utilisation des gens de leur parc, que celui-ci sera aménagé petit à petit. C’est le bureau d’Alexandre qui s’en occupera, car il aura le dossier encore quelques années. Ce qui est intéressant, c’est la vitesse à laquelle les espaces évoluent. La nature est super réactive, si on compare une photo d’il y a deux ans avec une photo d’aujourd’hui, on voit que l’espace a considérablement évolué. On a un parc qui pousse, qui sera réellement géré et pas bêtement entretenu. Après, c’est vrai, on peut toujours se poser la question de dépenser l’argent autrement, dans des actions sociales auprès de la jeunesse. C’est évident, on ne peut qu’être d’accord avec ça. Mais ce qui est super intéressant dans le travail d’Alexandre Chemetoff, c’est que par rapport au budget que la ville s’était donné pour le parc, Alexandre dépense considérablement moins. Je n’ai pas les chiffres en tête, mais si la ville avait prévu cent euros, Alex va peut être en dépenser quinze ou vingt. Par contre, il fait garder de l’argent pour justement permettre à ce parc d’évoluer, qu’il soit non pas entretenu mais jardiné et qu’on puisse dans quatre ans acheter des bancs à placer ça et là. C’est une toute nouvelle manière de faire. Regardez les traitements extérieurs qui ont été faits à Bordeaux sur les quais, ça a été un projet considérable avec de très beaux jardins, de très beaux espaces verts et tout ce qu’on veut. Le gros problème, aujourd’hui, c’est que la ville de Bordeaux n’a plus une thune pour entretenir ces espaces verts. C’est la catastrophe totale, c’est d’autant plus la catastrophe qu’on a des espaces qui demandent à être entretenus car ils ont été conçus comme tels, j’entends énormément entretenus. Là, au Haut-du-Lièvre, si personne ne vient jardiner dans le parc pendant trois mois, ça ne pose aucun problème, ni au parc ni au typologies végétales. Cette démarche s’inscrit à un point extraordinaire dans le développement durable, avec un tout petit budget, quelque chose comme vingt mille euros, si mes souvenirs sont bons, ce qui est absolument minuscule pour un marché public.

 

 

Plastique fantastique

Vidéo stop motion réalisée en collaboration avec Benjamin Baudet, sur une musique de Twi the Humble Feather, et lauréate du deuxième prix au concours AATCE Apple Creative Contest 2010.